La « compagnie aérienne phare » du Portugal, TAP, a été citée dans le procès civil intenté pour licenciement abusif par l’ancienne PDG Christine Ourmières-Widener. Cela signifie que l’entreprise, en pleine privatisation, dispose désormais de 30 jours pour répondre aux réclamations de 5,9 millions d’euros – un montant fixé par Mme Ourmières Widener, estimant qu’aucune décision ne pourra effacer la souffrance et « d’énormes dommages personnels et à la réputation » provoqué. Ce L’affaire a été portée devant le tribunal civil central de Lisbonne le mois dernier.