Pour la 3e année consécutive, l’ANSR – l’autorité nationale de sécurité routière – n’a pas été en mesure d’envoyer des contraventions pour excès de vitesse aux « conducteurs fautifs » à temps pour qu’elles ne soient pas périmées. Comment cela peut-il arriver au 21ème siècle ? Selon Público, repris par le journal télévisé SIC, tout cela est dû au fait que l’ANSR souffre « plusieurs mois sans service de messagerie ». L’année dernière, par exemple, il y a eu six mois au cours desquels les amendes ont simplement été laissées pour compte. L’année précédente, c’était très similaire. Les informations proviennent des rapports RASI (sécurité intérieure) pour 2021 et 2022, mais comme l’explique SIC, aucun n’explique pourquoi il n’y avait pas de service de courrier.