…. C’est Aljezur ! L’un des arrondissements les plus petits et les plus ruraux de la région sur la côte extrême ouest en dessous de la frontière avec l’Alentejo.
En contradiction totale avec la « norme » telle qu’enregistrée par le récent recensement (Cliquez ici), la popularité d’Aljezur parmi les ressortissants portugais et les étrangers ne cesse de croître.
S’il s’agit d’une excellente nouvelle pour la municipalité, elle soulève également toutes sortes de défis, notamment la disponibilité de logements abordables.
Le coût élevé des propriétés dans la région d’Aljezur et la multiplication des logements touristiques « AL » ont coûté cher à de nombreux habitants et ont fait que les entreprises ont du mal à trouver la main-d’œuvre dont elles ont besoin.
Se félicitant de l’annonce de l’augmentation des taux de natalité, le maire José Gonçalves déclare néanmoins que le prochain « gros problème » à résoudre dans son arrondissement est de savoir comment rendre Aljezur plus « inclusif » afin qu’il puisse croître avec sa population croissante.
En ce qui concerne les autres communes de l’Algarve, le nombre de bébés nés à Aljezur en 2020 (par rapport aux chiffres de 2001) s’est traduit par une augmentation de 83,8% : 57 contre 31.
Vila do Bispo vient ensuite avec une augmentation de 58%, suivie de Silves (36%) et d’Albufeira (16,5%).
L’Algarve en tant que région est l’un des seuls endroits où la population augmente – grâce aux étrangers.
Un bébé sur quatre né dans la région est d’un étranger, de nos jours le plus souvent les bébés sont d’origine brésilienne, indienne, népalaise ou pakistanaise.
Alors qu’au début des années 2000, les enfants étrangers nés au Portugal étaient généralement d’origine est-européenne, cela a maintenant changé – en particulier depuis que des projets agricoles intensifs attirant une main-d’œuvre immigrée (bon marché) ont été autorisés à proliférer (apportant avec eux leur propre part de problèmes Cliquez ici).
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