Alors que certaines régions du pays reçoivent déjà des livraisons postales si tard qu’elles risquent d’être coupées des services publics, les employés des bureaux de poste de CTT ont fait monter les enchères en se mettant en grève. Lundi et mercredi verront les bureaux de poste fermés ; pas de livraisons. La grève est pour « un salaire décent », pas les 7,50 € supplémentaires par mois que le patron a offert. Le porte-parole du syndicat, Carlos Prazeres, affirme que « la valeur des salaires des travailleurs ne cesse de baisser ». Le problème avec cet argument est qu’il s’applique actuellement à presque tous les travailleurs du pays et de toute l’Europe.