Une autre indication claire de la raison pour laquelle le SRAS-CoV-2 a fait tant de victimes dans les « pays riches » est le fait que deux citoyens portugais sur trois sont en surpoids ou obèses. La conclusion accablante provient d’un nouveau rapport des autorités sanitaires de la DGS, et a été présentée aujourd’hui par le tabloïd Correio da Manhã, utilisant une photographie à titre d’illustration de quatre personnes très manifestement en surpoids assises à des tables sur une terrasse de restaurant. Frustrant, l’article ne semblait pas avoir de réponses. En fin de compte, « 60 % des décès dans ce pays sont associés à des facteurs de risque résultant de mauvaises habitudes alimentaires ».