Le nouvel événement est gratuit et propose de nombreuses animations.
Le compte à rebours a commencé pour Vila Real de Santo António Setecentista un nouvel événement qui promet de ramener la ville de l’Algarve de l’Est au XVIIIe siècle.
Organisé par la mairie, l’événement vise à « retracer la vie quotidienne du village au XVIIIe siècle et souligner son importance historique, culturelle et sociale.» Je serai tenu entre le vendredi 12 mai et le dimanche 14 mai et marquer le 247e anniversaire de la ville.
« Des récréations à des processions, des spectacles, un marché et des banquets, les raisons de visiter la ville et de connaître tous les personnages de cette époque ne manqueront pas », déclare la mairie.
L’un des temps forts promet d’être les processions historiques, qui « feront revivre une tradition profondément enracinée dans la ville ».
Tout au long du week-end, il y aura également un large éventail de spectacles de cirque et de théâtre recréant des moments ou des scènes historiques importants, tels que le débarquement de pirates, une vente aux enchères d’esclaves ou une recréation de l’anniversaire de Marquês do Pombal, l’homme d’État portugais qui a joué un rôle clé dans la création de la ville.
Une large gamme de spectacles interactifs sont également programmés pour amener les visiteurs à se joindre à la fête. Ceux qui souhaitent vraiment vivre l’événement pourront également louer un costume.
Les événements marché aura un flux constant de musique live et de spectacles de danse, de jonglerie, d’acrobaties, de fauconnerie et d’activités pour les enfants.
Toutes les festivités sont gratuites sauf deux événements spéciaux : un bal masqué qui est prévue le vendredi 12 mai à 21h au Centre Culturel António Aleixo, inspiré du Carnaval de Venise, avec des billets à 5 € par personne ; et un banquet, qui aura lieu le samedi 13 mai également au centre culturel (50€pp). Les billets peuvent être achetés au centre culturel ou en ligne.
L’événement se terminera le dernier soir par un « spectacle de feu grandiose » le long de l’Avenida da República.
Par Michel Bruxo