Suite à la campagne intensive pour encourager les parents portugais à vacciner leurs 5-11 ans, moins de la moitié semblent avoir été convaincus.
Les doutes des parents quant à la nécessité réelle de soumettre ces jeunes enfants à des injections de nouvelles technologies (ARNm) ont été clairs dès le départ (Cliquez ici).
Les médecins spécialistes restent eux aussi profondément divisés (Cliquez ici).
Ainsi, lorsque les écoles rentreront demain après les vacances prolongées de Noël/Nouvel An, « seulement 45% auront une protection » (selon les termes du journal télévisé SIC/DGS).
Pour être juste, beaucoup diraient que les enfants ont déjà une protection, sous la forme de leur système immunitaire robuste ; le fait que la plupart d’entre eux ont déjà été en contact avec le virus – et que le SRAS-CoV-2 les laisse presque invariablement inchangés.
Les autorités ne seront pas « ravies » du « bilan final » d’aujourd’hui, mais elles continueront sans aucun doute d’insister sur la nécessité des vaccinations pour les groupes d’âge plus jeunes (indépendamment du fait que les vaccins actuels n’ont pas été formulés pour lutter contre la variante dominante en circulation Cliquez ici).
À l’heure actuelle, les 55% non vaccinés ne seront pas confrontés à la discrimination en ce qui concerne les règles d’isolement (Cliquez ici).
Combien de temps cela durera, si cela continuera même une fois les élections terminées, n’est pas clair (Cliquez ici).
