Un projet international incluant l’Université de Coimbra (UC) veut accroître la résilience de l’apiculture aux « facteurs de stress abiotiques », tels que le changement climatique, la perte d’habitat et les composés chimiques, y compris les pesticides. Le projet, appelé « Better-B », est financé par Horizon Europe, un programme de financement de la recherche et de l’innovation dans l’Union européenne. Il rassemble 17 institutions de différents pays et a été doté d’environ 6 millions d’euros. Au cours des quatre prochaines années, les chercheurs aborderont différents types de facteurs de stress par le suivi, l’expérimentation et la modélisation écologique afin de mieux comprendre les phénomènes de compétition entre les abeilles mellifères et les espèces pollinisatrices sauvages en situation d’abondance, dans l’espoir de assurer les abeilles menacées l’environnement dont ils ont besoin pour s’épanouir.
L’université de Coimbra impliquée dans un projet international pour augmenter la résistance des abeilles
