L’association portugaise des producteurs de lait (Aprolep) cherche désespérément à recevoir plus d’argent pour son lait. Les étables « ferment chaque semaine » en raison de la flambée des coûts, tandis que de nombreux producteurs envoient des animaux à l’abattoir afin d’économiser sur les factures d’alimentation. On espère que les supermarchés accepteront une valeur moyenne de 50 cents le kilo (ils sont actuellement fixés à 43 cents). Comme l’explique Aprolep, les producteurs laitiers portugais sont bien moins bien lotis que leurs homologues européens.
Les producteurs laitiers lancent un appel désespéré aux chaînes de supermarchés
