Le Premier ministre « gagne » l’offre de contrôle des bureaux d’Europol et d’Interpol

La Cour Constitutionnelle du Portugal n’a trouvé « rien d’inconstitutionnel » sur ce qui est désormais une loi, plaçant les services secrets, contrôlés par le Premier ministre, en charge des bureaux d’Europol et d’Interpol – auparavant supervisés par la police judiciaire de la PJ. De retour en août, la querelle a été considérée comme une tentative de « sauver » la séparation des pouvoirs, « de garder la politique hors de la justice ». Mais les juges constitutionnels ne l’ont pas interprété de cette façon, et donc le gouvernement a fait son chemin. Le président Marcelo a promulgué le diplôme « quelques minutes » après la décision, écrit Correio da Manhã.

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