Le PCP voit rouge face aux commentaires de l’association des réfugiés ukrainiens

Les communistes du PCP sont volubilement cuisant sur les propos tenus récemment par le président de « Refugiados Ucranianos » – l’une des nombreuses entités soutenant les quelque 34 000 Ukrainiens qui sont arrivés au Portugal depuis la zone de guerre qui est maintenant leur patrie.

Maksym Tarkivsky s’exprimait dans le contexte de Ligne de sélection des réfugiés de Setúbal.

Il a dit à un rassemblement « merci » à Lisbonne au cours du week-end – un événement pour remercier le Portugal pour toute son aide et son soutien aux réfugiés – qu’il ne peut pas comprendre comment « un pays démocratique peut continuer à avoir un parti communiste… ».

« En ce moment, dit-il, le le parti soutient essentiellement la guerre ».

Il a fallu deux jours complets au PCP pour réagir, mais ils ont réagi avec une déclaration publiée aujourd’hui contre ce qu’il appelle « la haine fasciste contre le PCP et le régime démocratique ».

Le problème avec la ligne de sélection des réfugiés est qu’elle devait créer des ondulations sans fin. Malheureusement, cette ondulation menace de devenir complètement incontrôlable.

Le PCP, déjà recroquevillé sur lui-même après avoir été battu aux urnes en janvier, est maintenant sorti toutes griffes nues, crachant littéralement de fureur.

La déclaration suggère Commentaires de Maksym Tarkivsky « montrer le véritable caractère antidémocratique du gouvernement de Kiev (sic) et constituent un affront intolérable au régime démocratique du Portugal ».

« Pour ceux qui ont des doutes sur la un manque total de respect pour la démocratie et la liberté établie depuis longtemps en Ukraine, ces déclarations, faites au Portugal, alertent sur le pouvoir que l’Ukraine exerce sur son propre peuple, et démontrent son personnage réactionnaire fasciste ».

En train d’appeler pour « corps souverains » prendre un « position sans équivoque », le parti lance même une pique à ces organes, les accusant d’avoir gardé le silence depuis l’insulte sur l’intégrité du PCP.

Le silence peut être considéré comme « un complice de telles conceptions antidémocratiques et des propositions », indique le communiqué.

Ainsi dans quatre jours depuis « l’exclusivité » d’Expresso – soulevant le couvercle d’un scandale à Setúbal dirigé par les communistes – la querelle continue de s’intensifier, au point que les gens risquent d’oublier où cela a commencé.

Cela a commencé avec les représentants russes d’une association liée à des sites créés par le Kremlin qui se sont vu confier la tâche de traiter les réfugiés ukrainiens – et de prendre sur eux, prétendument, de poser à ces réfugiés des questions sur les parents et les maris restés en Ukraine.

Selon Expresso, le les Russes travail documents d’identité photocopiés – à quelle fin personne ne peut en être sûr (d’autant que la démarche menée par SEF ne nécessite pas de photocopie de documents personnels).

En d’autres termes, les plaintes, si vérifié, aura été entièrement justifié – tandis que les ondulations commencent à ressembler à un bruit opportun.

natasha.donn@algarveresident.com

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