Manuel Beja, l’ancien président de la TAP « licencié » à la suite du « scandale de la poignée de main en or » a déclaré à Expresso qu’il pourrait finir par poursuivre l’État portugais pour licenciement abusif. M. Beja a été licencié en même temps que l’ancienne PDG de la TAP, Christine Ourmières-Widener, qui poursuit la TAP pour pas moins de 5,9 millions d’euros. Il a déclaré à l’hebdomadaire que son licenciement était « injuste » tant sur le plan juridique que moral.