L’agent du GNR décédé au MotoGP avait travaillé 14 heures d’affilée

Une « fatigue extrême » a été suggérée comme raison de l’accident tragique qui a coûté la vie le week-end dernier à un agent du GNR après que sa moto est entrée en collision avec un véhicule léger transportant deux personnes. (Cliquez ici).

Le sergent João Fernandes, un homme marié et père de deux jeunes enfants, avait travaillé 14 heures d’affilée le jour de l’accident.

La veille, il avait travaillé de minuit à 8 heures du matin avant de reprendre ses fonctions quatre heures plus tard.

Une source de sa famille en deuil a déclaré à Correio da Manhã que l’homme de 45 ans était « très fatigué ».

Il est mort en rattrapant un véhicule. Une camionnette transportant le journaliste sportif espagnol Lucio Lopez circulait en sens inverse. L’impact semble avoir été frontal.

La camionnette a ensuite pris feu et le journaliste britannique (Simon Patterson) a sauvé M. Lopez, qui à ce moment-là avait subi des « blessures graves ».

M. Lopez a été transporté par hélicoptère dans un hôpital de Lisbonne, tandis que Simon Patterson aurait été soigné sur place pour inhalation de fumée.

Le Daily Star britannique a repris l’histoire, qualifiant M. Patterson de « héros » pour avoir sauvé la vie d’un autre journaliste dans « un enfer flamboyant en dehors de la course MotoGP sur le circuit de Portimão… ».

Le président de la République Marcelo Rebelo de Sousa n’a pas tardé à déplorer la mort prématurée de l’agent Fernandes, tout comme le ministre de l’Intérieur Eduardo Cabrita.

Une minute de silence a été observée à la mémoire de l’agent dimanche matin en MotoGP.

natasha.donn@algarveresident.com

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