L’Agence européenne des médicaments « enquête sur trois nouveaux effets indésirables possibles des vaccins à ARNm »

Le journal Expresso rapporte que l’EMA, l’Agence européenne des médicaments, enquête sur trois nouvelles réactions indésirables possibles aux vaccins ARNm, Pfizer et Moderna, que l’UE a considérées comme favorable.

Les réactions sont les suivantes : érythème polymorphe (inflammation cutanée allergique, généralement bénigne qui disparaît en quelques semaines), glomérulonéphrite (un type de maladie rénale, dont les premiers symptômes comprennent :

  • Visage gonflé le matin
  • sang dans les urines (ou urine brune)
  • uriner moins que d’habitude
  • Essoufflement
  • Hypertension artérielle)

et le syndrome néphrotique (un problème rénal qui provoque une excrétion excessive de protéines dans l’urine, entraînant gonflement, en particulier dans les pieds et les chevilles. La glumérulonéhrite est décrite comme augmentant le risque d’autres problèmes de santé.).

Selon Reuters, ces trois conditions cliniques sont étudiées par le comité de sécurité de l’EMA, bien que pour l’instant il n’y ait aucune indication sur le nombre de personnes qui ont ressenti ces symptômes.

« Ni Pfizer ni Moderna, contactés par Reuters, n’ont souhaité pour l’instant commenter ces cas », écrit Expresso, soulignant que « la technologie des ARNm est considérée comme révolutionnaire par la communauté scientifique et les vaccins qui l’utilisent ont marqué un tournant dans la lutte contre la pandémie, mais ces derniers mois plusieurs effets secondaires rares ont été associés à ces vaccins.

« Dans l’Union européenne, plus de 330 millions de doses du vaccin Pfizer ont déjà été administrées, tandis que Moderna dépasse la barre des 43,5 millions d’injections ».

« L’EMA et l’Organisation mondiale de la santé continuent de faire valoir que malgré les effets secondaires extrêmement rares, les avantages de la prise de ces vaccins continuent de l’emporter de loin sur les risques ».

L’article de Reuters met également en évidence les «troubles menstruels» comme condition que l’EMA étudie pour les vaccins Covid, y compris ceux d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson.

natasha.donn@algarveresident.com

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