Lors d’une autre grève appelée au-dessus de la saison des fêtes, les travailleurs du CP et ceux d’Infraestruturas de Portugal ont assuré qu’hier (lundi) 320 des 419 trains programmés n’ont pas bougé d’un pouce. Cette grève, comme tant d’autres dans l’administration publique, réclame un « meilleur » accord salarial (pour tenir compte de l’inflation) et la « fin de la discrimination entre les travailleurs ». Une colonne de cloquage dans Expresso ce week-end estime qu’il est temps que le pays privatise les lignes ferroviaires et qu’il n’ait pas été constamment rançonné par des travailleurs payés par l’État qui fournissent un « service misérable » même lorsqu’ils travaillent.