La campagne annuelle « La solidarité n’a pas d’âge » menée par des policiers formés a identifié 400 autres personnes âgées à risque social, dont près de 300 ont été orientées vers des institutions d’aide sociale. Le dernier rapport sur cette initiative décrit les différents facteurs de risque notés comme « l’autonomie » (c’est-à-dire l’absence d’autonomie), « les conditions médicales graves nécessitant un suivi médical immédiat », « les conditions de vie dégradantes », « l’absence de réseaux de contact », « la suspicion victimisation criminelle » et « insuffisance économique et financière ». Comme l’expliquent les rapports, cette campagne est conçue pour aider les personnes qui « manquent d’un cercle familial ou de quartier actif et solidaire » – quelque chose qui dans le passé était une situation rare mais qui est malheureusement devenu beaucoup plus répandu en ces temps changeants.
La campagne « Solidarity is Ageless » identifie 400 seniors « à risque »
