INFARMED et les autorités sanitaires portugaises accusées d’avoir caché des données sur les effets indésirables des vaccins Covid chez les enfants

Le Mouvement pour les enfants et les adolescents dépose une plainte de 36 pages au bureau du procureur général

Tout comme les autorités sanitaires admettent essayer d’encourager davantage d’enfants et de jeunes à accepter l’offre de vaccins Covidle mouvement civique « pelas crianças e jovens na pandemia » a lancé une bombe.

En déposant une plainte de 36 pages auprès du bureau du procureur général, il a découvert des données qui, selon lui, montrent « graves manquements à la sécurité dans la transparence des informations, la pharmacovigilance et la réglementation des médicaments concernant les vaccins Covid-19 chez les enfants et les jeunes au Portugal ».

Le groupe met en lumière données de pharmacovigilance envoyé par les autorités de ce pays au VAERS (Vaccin système de notification des événements indésirables) des États-Unis qui, selon elle, a été « caché au niveau national » mais « qui permet détection d’indications sérieuses de problèmes avec les vaccins chez les enfants » ici.

Plus de 116 pages les différents incidents sont relatés dans leur intégralité – y compris « évanouissements » chez les adolescentes décrit dans les premiers jours du déploiement du vaccin, convulsions, perte temporaire de la vision, perte de la fonction motrice, surdité, mycocardite, etc.

La enfant de six ans décédé des suites d’une vaccination en janvier apparaît dans la liste – page 82 – la gravité de la réaction qualifiée de « mortelle ».

Les symptômes subis par l’enfant sont tous répertoriés en détail, y compris l’information que « il n’y a aucune suspicion d’interaction avec des médicaments. Il n’y a pas d’antécédents de réactions antérieures à d’autres médicaments ou d’allergies ».

La cause du décès a été répertoriée comme myocardite ; collapsus cardio-respiratoire. Tous les deux causes dont la presse a été informée à l’époque rien à voir avec le vaccin.

La « pelas crianças e jovens na pandemia » ; le mouvement est composé de parents concernés, de profanes ainsi que de pédiatres et de médecins spécialistes qui ont déposé cette dernière plainte au bureau du procureur général en tant qu’entité collective « afin de ne voir personne traqué ».

Ils soutiennent qu’en ne signalant pas entièrement les effets indésirables du vaccin dans ce pays, INFARMED et les autorités sanitaires ont essentiellement « caché » que sont dans de nombreux cas « étonnamment sérieux » situations.

« En dehors des enfants, il y a des notifications de certains cas de décès chez de jeunes adultes dus à une myocardite et à un choc anaphylactique », indique le dernier communiqué publié sur le site du groupe.

La déclaration continue que l’utilisation de ces vaccins d’urgence (pour une « urgence » sanitaire qui ne concerne pas majoritairement les enfants) « devrait suivre les recommandations officielles”, mais pour autant que l’on puisse en juger, ils sont administrés aux enfants « sans prescription médicale ». Si une réaction indésirable se produisait, qui en serait responsable, demande le groupe ?

Une autre question concerne le consentement éclairé. Le groupe s’interroge pourquoi les parents ne sont pas « dûment informés »… à l’égard de la nature génétique et expérimentale de ces vaccins » ; les « effets indésirables éventuels déjà connus et leur fréquence » ; « l’absence d’études d’effets indésirables à long terme » ; « l’absence d’études d’effets sur la grossesse, l’allaitement, sur l’embryon et le fœtus; sur le immunodéprimé, sur la génotoxicité et sur la cancérogénicité”.

Ainsi, l’appel au procureur général de la République « pour enquêter sur la vérité factuelle notamment avec la réalisation de diligences qui incluent l’audit des performances d’INFARMED, la découverte de listes détaillées d’effets indésirables chez les enfants et les jeunes vaccinés contre le Covid-19 »- et l’examen des contrats conclus pour l’achat de ces vaccins.

Une autre demande concerne un audit en bonne et due forme du suivi des données de santé publique – notamment en matière de surmortalité « du début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 à nos jours, par statut vaccinal et âge ». Il s’agit peut-être d’une question plus large que celle qui concerne uniquement les enfants et les jeunes, mais un véritable éléphant dans la pièce.

La déclaration conclut que le la plainte cherche à « inclure » ​​(c’est-à-dire impliquer) toutes les parties (politiques et médicales) qui ont participé à la campagne de vaccination du pays.

C’est pas un développement qui sera largement médiatisé, en raison des tabous de la remise en cause du « récit officiel », bien que ces tabous soient minutieusement brisés dans de nombreux pays.

Les pièces jointes à la plainte déposée au Parquet général sont toutes consultables sur le site du mouvement.

Le texte intégral de la plainte est disponible ici.

natasha.donn@portugalresident.com

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