Les enquêteurs du CCMAR (Centre des sciences de la mer) de l’Université de l’Algarve appellent à un contrôle efficace des 72 « aires marines protégées » (AMP) du Portugal. En effet, le seul « contrôle » est exercé par les enquêteurs eux-mêmes, qui n’ont aucun pouvoir de protection. Ainsi, on détecte des activités dans ces zones qui sont très similaires, sinon exactement identiques, aux activités dans d’autres zones. Dit Bárbara Horta e Costa « nous ne protégeons rien » : il est temps que l’État exerce des « contrôles efficaces ».