Comme elle le craignait, une grand-mère britannique reconnue coupable de contrebande de cocaïne lors d’une croisière de luxe, est décédée seule dans une prison portugaise.
Le UK Express a annoncé la nouvelle aujourd’hui, décrivant des « initiés » comme disant que les derniers jours de Susan Clarke avaient été passés dans « tant de douleur » dans une « cellule infestée de rats ».
Selon le rapport, des médecins portugais « ont décidé qu’ils ne pouvaient rien faire pour elle – alors ils l’ont laissée purger sa peine dans la prison EP Tyres à Lisbonne … sans traitement ».
Que cela soit vrai n’est pas clair. Mais ce n’est que la fin que la femme de 72 ans s’est prédite (Cliquez ici) alors que son mari se bat pour que le couple soit transféré au Royaume-Uni pour purger le reste de sa peine.
Comme l’explique l’Express, le couple a tous deux plaidé non coupable des accusations, affirmant qu’ils pensaient qu’ils faisaient de la contrebande de fruits exotiques et non de cocaïne – mais leurs condamnations antérieures pour trafic de drogue les ont tous deux emprisonnés pendant huit ans. (Cliquez ici).
Une source du ministère britannique des Affaires étrangères n’aurait dit rien de plus que : « Nous soutenons la famille d’une femme britannique décédée au Portugal ».
On ne pense pas qu’il y ait beaucoup de femmes britanniques dans la prison de Tyres, mais celles qui y ont été dans le passé ont toutes décrit des conditions assez pénibles.