L’attente angoissante des fonds européens pour soutenir la compagnie aérienne nationale TAP se poursuit cette semaine, Bruxelles ayant déclaré qu’elle n’était vraiment pas convaincue que le programme de restructuration du gouvernement soit viable. L’exécutif doit désormais répondre à une série de nouvelles questions d’ici le milieu du mois. Ceci est considéré comme une situation extrêmement embarrassante pour le gouvernement qui n’a augmenté sa participation dans la compagnie aérienne criblée de dettes que l’année dernière sur fond de critiques (sur la base que TAP ne vaut pas les milliards d’argent des contribuables en fin de compte qui sont investis dans il).